melodramatically Vous pouvez me retrouver le dimanche 7 décembre 2014 au Parc Expo, Stand A6 C25, où j’expose avec les intervenants de la Villa Lise (lien )!
https://www.digimattsolutions.com/1490-bph56730-dulcolax-oder-laxoberal.html Au plaisir de vous accueillir!
Bakıxanov Christine Samson
Centre de développement personnel, la Villa Lise est un lieu paisible et chaleureux, où chacun(e) est accueilli(e) dans sa démarche de mieux-être et de transformation.
Nous sommes plusieurs intervenants à y exercer nos activités, en séances individuelles ou en ateliers, avec cette même idée d’accompagnement visant avant tout le respect et l’harmonie de l’Être.
Des conférences et des formations y sont régulièrement proposées.
Une belle humanité règne dans ces lieux et dès que la porte s’ouvre, une sensation de légèreté s’installe déjà en vous!…
Pour connaître les activités de la Villa Lise, suivez ce lien…
Christine Samson
Les ateliers d’harmonie par le souffle, le son et la voix ont repris!…
Basée sur la Psychophonie® MLA, l’approche vocale, créatrice et ludique, permet la détente corporelle et psychologique.
Elle libère des tensions laissant place aux émotions qui se transforment, portées par les sons…
Le 15 octobre, lors du premier atelier, nous avons joyeusement réveillé nos corps, (re)découvert l’harmonie de notre « corps-voix »…
Le 29 octobre, nous avons cheminé au pays des parfums, guidés par les huiles essentielles, vers l’intériorisation et la (re)connexion avec notre « enfant intérieur »…
Prochain atelier le 19 novembre 2014 à 10H00 à Claret (34270).
Des places sont encore disponibles!
Contact: 06 60 41 60 58
Durée: 1H15 – 1H30
Tarif: 20€/personne
Alors que les massages bien-être et relaxation représentent un marché en plein essor, il convient de souligner que cette profession ne dispose pas de réglementation destinée à encadrer son exercice. Ainsi, comme toute activité non réglementée, un nuage de doute et de scepticisme peut se poser sur ce métier et nuire à l’image professionnelle et sérieuse de la majorité des praticiens.
Source texte et image: www.unizen.fr
Voici un article de Bio&Bien-être.fr sur les parfums de synthèses.
Je publie cet article dans un but de sensibilisation, car il est important de réaliser à quel point notre corps est aujourd’hui agressé chimiquement, de l’intérieur (nourriture, boissons, médicaments…) et de l’extérieur (cosmétiques, parfums…)!
Il est temps de nous respecter en respectant notre enveloppe charnelle!
Redécouvrons Dame Nature et tous ses bienfaits, tous les merveilleux cadeaux qu’elle nous offre…
Reprenons contact avec tous ces Eléments.
Un simple rayon de soleil peut transformer une journée et un rayon de lune illuminer une nuit!
Le vent peut chasser nos soucis, et l’eau purifier notre corps… Un arbre peut nous transmettre la force de ses racines et la protection de ses branches.
Alors transformons nos vies en retrouvant cette Harmonie!
Belle journée à chacun de vous!
Pour lire l’article, suivez ce lien: http://bien-etre.bioetbienetre.fr/parfums-de-synthese-pourquoi-s-en-mefier/ar300.html
SUICIDES AU TRAVAIL :
LE BURN OUT EST UNE EXPLICATION BIEN COMMODE
Après France Télécom, après Renault, Peugeot, le phénomène du suicide au travail semble se généraliser et toucher de plein fouet les fonctionnaires dans l’Education Nationale ou dans la Police notamment.
Le suicide au travail n’est évidemment que la partie immergée d’un iceberg immense où se mêlent les dépressions chroniques, les troubles bi-polaires, le stress et l’épuisement physique, des affections qui provoquent, depuis quelques années, une explosion du nombre de congés maladie.
Le « burn out » évite de se poser les vraies questions
Alors bien sûr, les médias nous reparlent du stress au travail et du fameux « burn out ». Une maladie « psychique » dont on ignorait totalement l’existence jusqu’à ces dernières années et qui serait due à un durcissement des conditions de travail. En gros, ce serait comme la surchauffe d’une chaudière à laquelle on demanderait de produire trop de chaleur… une surchauffe suivie d’une explosion…
Cela expliquerait tout. Mais tout de même, si les conditions de travail sont effectivement de plus en plus difficiles dans certaines entreprises ou professions, elles sont loin d’être aussi dures qu’elles ne l’ont été pour nos aînés et il me semble bien réducteur et simpliste de faire porter le chapeau du suicide au seul contexte professionnel.
On ne se suicide pas pour des raisons professionnelles, je n’y crois pas. Ce n’est là qu’un déclencheur. Et ce sont des personnes par définition fragilisées qui se suicident, sous l’influence de nombreux facteurs exogènes. C’est là, me semble-t-il, une question de bon sens mais les médias, bizarrement, ne la posent jamais. Non, ils préfèrent nous rappeler les méfaits de la crise, les cadences qui s’accélèrent, la peur du chômage, les chiffres (400 à 500 décès par an liés au travail). Ils préfèrent parler de loi des séries. Des pathologies, et des causes, qui mènent au suicide, jamais !
C’est comme si l’on refusait de se poser les vraies questions. Car enfin, si l’on mène une vie harmonieuse chez soi, si l’on est heureux de vivre, pourquoi irait-on se suicider au travail ? Même si l’on passe le plus clair de son temps sur son lieu de travail, même si l’on a trop de travail même si l’on est houspillé en permanence par ses chefs, on ne se suicide pas pour cette seule raison.
Une goutte d’eau dans un océan de désespoir !
Je m’explique. D’abord, on ne se suicide pas plus au travail que chez soi. En France, on dénombre encore aux alentours de 12 000 à 13 000 suicides par an. C’est un record en Europe. Un triste record qui se traduit par un suicide au moins toutes les 50 minutes. Quant aux tentatives de suicide, elles atteindraient les 160 000 par an et l’on sait que 60% des personnes ayant fait une tentative de suicide répètent leur geste…
Dans cet océan de désespoir, les suicides au travail ne représentent qu’une goutte d’eau. En 2007, le taux de suicide en France s’élevait à 16,3 pour 100 000 habitants. Lors de la vague de suicides qui a affecté France Télécom, de 2008 à 2010, on a compté 25 suicides pour une entreprise qui compte plus de 100 000 salariés. Le taux de suicide n’est pas si différent du taux général de la population française.
Le suicide : la conséquence directe d’un empoisonnement physique et moral
Pourquoi traiter à part le burn out alors qu’il est probablement très étroitement associé à divers autres troubles tels que la dépression, l’hyperactivité et à toutes les affections psychiatriques en général. Des affections dont tout le monde peut tomber malade à tout moment face aux conditions de vie déséquilibrantes qui sont les nôtres aujourd’hui.
L’abrutissement télévisuel, la place grandissante que prennent les écrans dans nos vies, le flot d’informations permanent devenu ingérable, le rythme de vie trépidant sont sans doute les premières causes des déséquilibres psychiques. A cela s’ajoutent un délabrement général de la vie spirituelle et du sens moral qui va de pair avec l’affaiblissement du sentiment religieux.
Contre toutes ces causes la médecine naturelle n’a pas de remède. Des conseils tout au plus : prendre le temps de ne rien faire, ménager son corps, se tourner vers la méditation ou le Yoga.
Mais il y a à mon avis d’autres causes sur lesquelles nous pouvons agir
L’explosion des maladies « psychiques » ne serait-elle pas la conséquence d’un empoisonnement généralisé ?
Et que dire des remèdes de la médecine allopathique face aux conséquences que sont l’angoisse, le stress, le burn-out ? Anxyolitiques, benzodiazépines, antidépresseurs… ces médicaments tuent aussi. On sait très bien qu’en provoquant des bouffées d’euphorie, qu’en désinhibant, notamment la peur, ils facilitent le passage à l’acte, y compris dans les lieux les plus inattendus. C’est même écrit sur la notice des antidépresseurs : peut provoquer des pensées suicidaires… Voilà un doux euphémisme.
Quand ils sont pris devant une vraie dépression et quand un cocktail d’alcool et de drogue s’y rajoute, le pire est à prévoir. C’est dans 90% des cas la formule que l’on retrouve dans les suicides. Beaucoup de tueries, d’accidents de la circulation, d’actes de violence en général, notamment dans les collèges, sont favorisés par ces drogues légales. Beaucoup de burn-out aussi.
D’ailleurs, combien sont-ils, parmi ces suicidés du travail, qui étaient sous l’emprise de la drogue médicale au moment des faits ? Aucune étude n’a été menée dans ce sens. Imaginez que l’on découvre que tous ces suicidés faisaient l’objet d’un traitement médical à base d’antidépresseurs, cela ferait mauvais genre…
Comment se sortir d’un burn-out ?
Il n’en reste pas moins que le « burn-out » existe. C’est en fait le moment où l’organisme craque face à toutes ces agressions. C’est la goutte d’eau « psychique » qui fait déborder le vase de l’épuisement physique.Travail, traumatisme, divorce… ne sont ici que des déclencheurs d’une situation qui empire chaque jour.
La grande erreur médicale concernant ce sujet est de rechercher la cause dans les conditions de travail exclusivement, alors qu’elle est ailleurs.
Or, il existe une batterie de moyens naturels qui peuvent vous aider si vous vous sentez concerné, à prévenir et adoucir ce type d’évènement désagréable.
Voici comment éteindre le feu
1 – combler les carences nutritionnelles (magnésium, fer, zinc, oméga 3 notamment)
2 – faire appel aux plantes qui peuvent nous aider à gérer les situations de stress.
Certains remèdes « énergétiques » peuvent aussi compléter la cure de plantes.
Il n’est pas question ici de nier que la qualité des relations professionnelles joue un rôle dans la santé psychique des gens qui travaillent. Ni de nier que l’environnement économique s’est dégradé ces derniers mois et que cela a une conséquence sur la pression exercée par les salariés dans toutes les entreprises. Mais il faut tout de même reconnaître que les conditions de travail actuelles sont nettement plus confortables aujourd’hui qu’elles ne l’étaient il y a seulement vingt ans. Et je ne parle même pas de l’enfer que devaient vivre les ouvriers au début du vingtième siècle. Y avait-il autant de suicides à cette époque ? J’en doute…
Quoiqu’il en soit, je reste persuadé que la pression professionnelle n’aura que peu de conséquences chez ceux qui s’alimentent correctement, qui ne se gavent pas de programmes audiovisuels, qui consacrent un peu de temps à l’harmonie de leur vie familiale. Et que les « soucis au boulot » ne provoqueront pas de dégâts chez ceux qui, sentant qu’ils s’affaiblissent, prendront le temps de se préoccuper de leur santé de manière préventive.
Prenez soin de vous.
Dominique Vialard